Reprendre du poil de la bête. Se coiffer d’un renard.

« Le père Ruquier, maladroit et galant, se moumoutait même coiffé d’un borsalino. Ne sachant doser la colle, chaque fois qu’il rencontrait une dame, il la saluait, redevenant chauve le temps de quelques secondes. » (Victor Houpette – extrait de  »Trouvez moi vite le faux tif »)

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