HAÏKU nom masculin
Poésie hémorroïdale.
Poésie hémorroïdale.
J’ai cru voir le reflet d’un mini-moi dans le papier de mon chocolat aux noisettes.
Prénom de première main.
Bonne humeur permanente pour éviter d’avoir le bourdon.
Instrument à cordes et à percussion, deux en un, pour musicien radin.
Magicien de la boule.
Dans le monde des contes de fées, chanson réaliste des sept nains qui n’en reviennent pas de ce que raconte cet article du journal du « Vrai Monde » prétendant que pour être dans le vent, les « hommes » utilisent des énergies dangereuses pour la forêt.
Rembourrage désuet.
Casque 3D pour films médiévaux.
Page nécrologique illustrée.
Hep taxi !
Bleus à l’âme.
Héler pour ne pas se retrouver au volant.
« Il avait eu beau heptaxir pendant une bonne demi-heure, aucune voiture jaune ne s’était arrêtée. Obligé de rentrer chez lui à pieds, il se dit que, finalement, l’élection de Barack Obama n’avait pas changé grand chose à son quotidien. » (Xavier Nofaube)
Personnage de roman très attachant.
Pâtisserie érotique.
Main au panier italienne s’exprimant au retour des beaux jours et dont le capital soleil vaut la capitale italienne.
Clitoris en forme d’altères pour langue chargée.
Touché coulé.
Homme pratiquant assidûment la paresse pour se donner la sensation d’immortalité.
Étalon.
Maison agréable malgré le passage du dernier ouragan.
Animal suicidaire.
Le plus vieux et le plus récurent personnage de l’auteur du « Tour du monde en 80 jours ».
Malheureusement, il apparaît uniquement dans des romans jamais publiés, comme :
– De la terre dans la Lune (qui dénonce les conditions d’hygiène à cette époque)
– Pierrafeu sous les mers
– Le tour du monde en tyrannosaure
– Le pays des fourrures
– L’île préhistérieuse (avec le capitaine Néolithique)
– Michel Stroglodyte
Morve en coquille.
Le messie n’est sans doute pas un mauvais cheval mais méfions nous tout de même.
Personne qui pense être malade quand elle regarde en 2CV, au drive-in, le film « Eternal Sunshine of the Spotless Mind ».