CARNUVALIE néologisme
Maladie étrange qui consiste à se déguiser en personnage historique dans un camp de nudiste.
Maladie étrange qui consiste à se déguiser en personnage historique dans un camp de nudiste.
Poisson coupé en fine tranche pour servir de mouchoir jetable.
Petit poisson qui se tapit dans l’ombre.
Cervidé farceur de la région du Maine (USA) qui jette des couteaux aux chasseurs pour leur faire peur.
Imitation de la carte Grease.
Maison primitive au pays des mots croisés dont la lumière reste éteinte quand elle est inoccupée.
Protection pour mineurs de fond exigeant.
Ustensile d’un film alimentaire.
Toujours prêt à se faire dévaliser son goûter.
Mohamed Ali perd ses clés avant le gong
Vêtement pour bavard nocturne.
Pièce à vivre en sous-sol pour les ringards.
Petit insecte qui ne manque pas de tenter sa chance au grattage même si sa victime préfère qu’il accède directement à sa chance au tirage… en orbite.
Support pantalon d’armoire.
Même histoire de citrouille en genres inversés. Dans cette version, le pauvre se fait griller.
Jeune fille qui s’invitant au bal grâce à sa marraine la fée Clochonette, voit son carrosse se transformer en pot de rillettes à minuit sous prétexte qu’elle n’a pas les mêmes valeurs que le prince.
Adaptation cinématographique de la vie de Jésus transposée en Amérique du sud.
Paraîtrait qu’il s’agit d’un parasite des vignes mais j’y crois à moitié. Tout essai de me faire changer d’avis sera vain.
Lunettes noires dissimulant mal un regard assassin.
1. Proche parent du cerf, fort et majestueux, avec d’immenses bois à la géométrie parfaite que l’on voit jaillir des sous-bois les dimanches matins brumeux d’un automne multicolore, qui se terre le reste de l’année parce qu’il est ridicule avec toutes ces feuilles sur la tête.
2. Feuille de cercueil, appelée également « feuille morte ». Elle se cueille et se recueille (mieux vaut deux fois qu’une) afin d’être utilisée dans les bouquets dégarnis, ingrédient indispensable à une décoction très prisée par ceux dont les cheveux se ramassent à la pelle
Duo d’auteurs qui pourrait jouer dans un remake du film de Lelouch, « Un homme, une femme ».
Charognard affectueux.
Siège sacerdotal.
Peut être mortel pour les chauffeurs de bus avinés.
Produit de lavage pour épi de cheveux.
Tank il y aura des corridas.
Situation olfactivement délicate.
Appât de Van Helsing
Gros minet en Ovalie.
Bourre-cat.
Chat du Rabbin.
Sorcier spécialisé dans la conception de mistigrigris.
Panure d’eczématou.
Chaton de cirque.
Héros hallucinant de la dernière comédie animalière de Francis Weber.
Félimbécile.
Félin qui raconte des histoires.
Félin sauvage des montagnes qui n’hésite pas à attaquer les skieurs.
Félin si maigre qu’on se demande ce qui lui reste.
Parc protégeant une race rare de chat qui ne donne que des mâles.
Femme fontaine montée à l’envers
Vierge.
Mi-bas pour mille-pattes.
La plus noble conquête du quarté plus.
Depuis la nuit des temps, le cheval court, accessoirement, avec un homme sur le dos, pitié qu’il a des espèces handicapés, sur deux pattes seulement. N’est-ce point la preuve que le cheval est bon, et pas uniquement avec des petits oignons ou entre deux lasagnes ? Quand le cheval court, l’homme dit qu’il est au galop. Quand il se promène, les jeunes disent que c’est trot. Les mêmes estiment qu’un cheval à la mode dit ce que jockey pense, à son rythme. C’est trot bien !
Cependant, le cheval n’a cure de la mode, ne connaît pas la modernité. Les jeunes disent alors que ça crin ! Il ne connait pas le four à micro-onde ou le surgelé surprise sans lesquels l’homme ne serait pas sur mais sous le cheval. Il ne connait pas le rasoir électrique. Pour cette raison, à chaque course y pique la première place s’il est gagnant et, de honte, un phare s’il est breton.
Le cheval que la nature a doté de plus de majesté que d’intelligence ne possède dans son vocabulaire qu’un seul mot que les savants ont traduit par « pournicontre », bien que la frange italienne des hippiatres pisaniens penche plutôt pour « T’as pas fini de m’grimper d’ssus ? ».
Le cheval ne prend jamais parti. Il est neutre. Il ne se joue jamais gagnant au tiercé et ne parie jamais sur l’un de ses concurrents. Il s’en fout. Constatation qui a sans doute permis aux spécialistes de déduire que le cheval hennit « pournicontre ».
Bar qui passe de la musique comme à la maison.
Limite de la décence qui aurait pu être dépassée si ce mot avez été écrit différemment.
Gastro-entérite alcoolisée que l’on sent passer.
Par respect, je peux vous affirmer que ce mot n’existe pas.
Chien comanche en Asie.
Piscine à bull.